Économie circulaire et industrie en 2035

Vous souhaitez être acteur des profondes mutations à venir dans l'industrie ? Vous êtes au bon endroit.

Économie circulaire et industrie en 2035 - EM Strasbourg

L’observatoire des futurs est une plateforme de réflexions croisées entre praticiens, chercheurs et acteurs territoriaux sur des sujets prospectifs permettant d’éclairer les décisions stratégiques des industriels de la région.


La thématique : Industrie et économie circulaire en 2035 

La multiplication récente des crises climatiques, sanitaires et géopolitiques a accéléré le déclassement du modèle linéaire de l’industrie (rigidités des supply chains, vulnérabilité des approvisionnements, destruction de l’environnement) au profit d’une logique circulaire visant à optimiser la consommation de matières premières, d’énergies non renouvelables et de déchets sur un territoire.   

Fortement poussée par les pouvoirs publics, l’économie circulaire apparaît ainsi comme un enjeu central pour l’industrie du futur mais soulève encore de nombreux défis et incertitudes qui feront l’objet de notre prochaine étude. 

 

Les questions soulevées lors de cette étude  

  • Quelles sont d’ici 2035 les trajectoires d’évolution possibles de l’industrie face à ce basculement vers l’économie circulaire ?   
  • Quels seront les impacts de ces mutations sur les modèles d’affaires et la chaîne de valeur des industriels du Grand Est et comment agir pour s’y préparer ?    
  • Souhaitez-vous être acteur des profondes mutations à venir dans l'industrie ? 

Économie circulaire dans l'industrie : Cas d'entreprises 

Ces entreprises ont appliqué avec succès l'économie circulaire à leur industrie.


Schneider Electric 

Depuis plus de 15 ans, Schneider Electric mène une réflexion sur la notion d'économie circulaire au sein de son entreprise. Cela se traduit notamment par de nouveaux business modèles, un réengagement des équipes, une recomposition des chaînes de valeur ... Une approche qu'ils jugent gagnant/gagnant et qui leur permet notamment de remporter des appels d'offre grâce à une approche à plus forte valeur ajoutée, moins chère que leurs concurrents. 


Michelin 

Michelin a choisi de baser son approche sur la stratégie des 4 R : renouveler / réduire / réutiliser / recycler. L'un de leur objectif est d'utiliser 80% de matériaux renouvelables pour la fabrication de pneus d'ici 2050. Au delà d'un usage de technologies innovantes en interne, Michelin souhaite valoriser sa R&D sur d'autres marchés et permettre à d'autres industries de bénéficier de leur savoir-faire. Un travail qu'ils réalisent en collaboration avec le monde industriel et universitaire au travers du Corporate Innovation Board. 


Groupe SEB

Depuis 2008 SEB a mis en place une véritable politique de réparabilité de ses produits, à contre courant des tendances liées à l'obsolescence programmée. Ils travaillent aujourd'hui sur une offre permettant au consommateur de faire réparer leur produit, hors garantie,  pour 20 à 40% de sa valeur neuve. Au travers de cette proposition, ils espèrent influencer positivement les usages des consommateurs et les inciter à réparer leurs produits plutôt que de les jeter. 


Groupe Vicat Circulère

Suite à la crise économique de 2008, l'entreprise Vicat a cherché de nouveaux relais de croissance pour développer son activité. La maitrise et la re-circularisation des flux de déchets est alors apparue comme évidente et a donné lieu à l'étoffement du département puis de la direction en charge des combustibles et matières de substitution. Sur la partie combustibles, ils souhaitent atteindre 100% de taux de substitution d'ici 2024 en produisant des ciments uniquement avec des déchets énergétiques générés dans les territoires d'implantation. 

 

Source : Pivoter vers l’industrie circulaire, quels modèles ? comment accélérer ? Une étude OPEO & INEC 2021


Retours et témoignages sur la 1ère édition de l'Observatoire des futurs

Une méthodologie éprouvée


La démarche repose globalement sur 3 étapes via la mobilisation de 5 workshops (4 journées et demi) réunissant praticiens, chercheurs ainsi qu'un travail back-office (veille, entretiens d'experts)

  • la constitution de la base d’information prospective : qui permet d’avoir une vision globale du système étudié et de sa dynamique.

  • l’exploration prospective qui consiste à projeter le système dans l’avenir sous forme d’hypothèses et de scénarios

  • L’identification des orientations pour l’action (menaces, opportunités, enjeux, plans d’action) pour chaque scénario retenu.

 

-> Je découvre la méthodologie en détail 

 

Les dates clés du projet

  • Atelier de présentation : 17 mars 2023 à l'EM Strasbourg

  • Date limite d’inscription à l'Observatoire des futurs : 04 avril 2023

  • Démarrage officiel du projet et 1er atelier : 14 avril 2023


Vous souhaitez échanger avec nous et participer à la 2ème édition 


Votre contact

Nathalie Sipp

  • Responsable Développement Relations Entreprises Grand Est,
  • EM Strasbourg Business Club et Taxe d'Apprentissage
  • 07 86 37 35 15
  • nathalie.sipp@em-strasbourg.eu

Les échanges que nous avons eus étaient très cadrés par la méthodologie prospective. Des ateliers étaient organisés pour cadrer le projet et confronter nos idées avec celles des autres participants afin de faire émerger des idées nouvelles. Entre chaque workshop, les enseignants-chercheurs effectua...

Franck Gentzbittel
Témoignage de Franck Gentzbittel (Bechtle AG)

L’approche prospective proposée par l’Observatoire des futurs permet de mettre sur la table un grand nombre d’éléments qui sont ensuite traités de manière rationnelle, pour aboutir à des scénarios crédibles et exploitables. Les ateliers de travail en petits groupes ont été l’occasion d’identifier di...

Fabrice Stephan
Témoignage de Fabrice Stephan (Schaeffler France)

Voir aussi

Observatoire des futurs
Observatoire des futurs